On se pose dans une boucherie, on dépose ses aprioris et on écoute le bruit des coeurs se livrer au confessionnal , le son des chairs palpiter..puis on retourne au plateau, et l’on cherche à déployer l’intime, à faire surgir dans la tendresse les fragments d’histoires cabossées de l’humanité, et laisser jaillir avec humour les rebonds de la résilience , de l’élan vital…
On coupe, on tranche,on cisaille, on affine l’écriture… A coeur ouvert…Sortie du four en octobre 2016…